A vous tous qu'un jour j'ai aimés
Et que je qualifiais d'amis,
Vous à qui j'aurais tout donné,
Quel qu'ait pu en être le prix,
Sachez que vous m'avez blessée,
Laissée profondément meurtrie.
Quand j'aurais eu besoin de vous
Au plus profond de la tourmente,
Quand je vous pensais un atout
Pour surmonter la déferlante,
Vous m'avez assené des coups
Qui m'ont laissée agonisante.
Certains d'entre vous m'ont trahie,
Quand d'autres se sont détournés.
Votre silence est un mépris
Que j'ai du mal à endurer,
Vos yeux fuyants, tous vos non-dits
Me donnent envie de hurler.
J'aurais eu besoin de si peu
Pour croire encore en l'avenir.
Vous avez piétiné ce feu
Qui donne envie de rebondir.
Il me faut vous faire un aveu :
Je peine à ne pas vous haïr.
Pas de photo pour celui-là car j'ai des problèmes de connection. Il me faut des heures pour accéder à la moindre page, alors charger une photo est impensable. C'est également la raison pour laquelle je n'ai pas répondu à vos coms et ne viens pas sur vos blogs, ou n'y laisse pas de com, car si par miracle la page s'ouvre, il m'est impossible d'y laisser un petit mot.